Shinya Arimoto, né en 1971 au Japon,est un photographe qui dans son travail propose beaucoup de photos de rue, structures de bâtiments et population, souvent celle laissée pour compte.Il montre un monde chaotique, intime, prenant. Contrairement à d'autres photographes qui saisissent rapidement l'image, Shinya prend le temps de communiquer avec ses sujets et cela se sent.
Magnifique photos de Katmandou et du Tibet et le japon comme vous ne l'avez jamais vu.
http://www.arimotoshinya.com/
cliquez sur les photos
De l'audace que diable!!
Diane Arbus au Jeu de Paume, du 18 octobre 2011 au 5 février 2012
1, place de la Concorde, Paris 8e
Tél: 01 47 03 12 50
Ouvert mardi de 12h à 21h, du mercredi au vendredi de 12h à 19h, samedi et dimanche de 10h à 19h
Plein tarif 8,50 euros, tarif réduit 5,50 euros.
cliquez sur les photos
De l'audace que diable!!
Diane Arbus au Jeu de Paume, du 18 octobre 2011 au 5 février 2012
1, place de la Concorde, Paris 8e
Tél: 01 47 03 12 50
Ouvert mardi de 12h à 21h, du mercredi au vendredi de 12h à 19h, samedi et dimanche de 10h à 19h
Plein tarif 8,50 euros, tarif réduit 5,50 euros.
Diane Arbus (1923-1971) a révolutionné l’art de la photographie ; l’audace de sa thématique, aussi bien que son approche photographique ont donné naissance à une œuvre souvent choquante par sa pureté, par cette inébranlable célébration des choses telles qu’elles sont. Par son talent à rendre étrange ce que nous considérons comme extrêmement familier, mais aussi à dévoiler le familier à l’intérieur de l’exotique, la photographe ouvre de nouvelles perspectives à la compréhension que nous avons de nous-mêmes.
Arbus puise l’essentiel de son inspiration dans la ville de New York, qu’elle arpente à la fois comme un territoire connu et une terre étrangère, photographiant tous ces êtres qu’elle découvre dans les années 1950 et 1960. La photographie qu’elle pratique est de celle qui se confronte aux faits. Cette anthropologie contemporaine — portraits de couples, d’enfants, de forains, de nudistes, de familles des classes moyennes, de travestis, de zélateurs, d’excentriques ou de célébrités — correspond à une allégorie de l’expérience humaine, une exploration de la relation entre apparence et identité, illusion et croyance, théâtre et réalité.
Arbus puise l’essentiel de son inspiration dans la ville de New York, qu’elle arpente à la fois comme un territoire connu et une terre étrangère, photographiant tous ces êtres qu’elle découvre dans les années 1950 et 1960. La photographie qu’elle pratique est de celle qui se confronte aux faits. Cette anthropologie contemporaine — portraits de couples, d’enfants, de forains, de nudistes, de familles des classes moyennes, de travestis, de zélateurs, d’excentriques ou de célébrités — correspond à une allégorie de l’expérience humaine, une exploration de la relation entre apparence et identité, illusion et croyance, théâtre et réalité.
la suite sur le site du jeudepaume
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire